Site Web PrécliniqueSite Web Clinique
Carte statistique de l'effet sur l'épaisseur corticale

Représentation spatiale de l’évaluation statistique de l’APOE ε4, des scores tau et des scores β-amyloïde sur l’épaisseur corticale. Les scores Tau étaient significativement associés à une réduction de l’épaisseur corticale dans plusieurs régions.

Carte statistique de l'effet de Tau sur l'épaisseur corticale et le FDG

Comparaison de l’effet de la protéine tau sur l’épaisseur corticale et du FDG PET SUVR. Les cartes statistiques ont été seuillées à l’aide d’une approche de taux de fausses découvertes (FDR) à des fins de comparaisons multiples.

Carte statistique de l'effet sur la densité de la matière grise et le volume cortical

Comparaison de l’effet de la protéine tau sur la densité de la matière grise et le volume cortical. Bien que similaire dans l’espace, l’association la plus significative avec tau correspond à la densité relative de la GM.

--:--

L’évaluation des principaux effets des scores tau basés sur APOE ε4 et SVD sur l’épaisseur corticale à chaque sommet a été réalisée par inférence statistique sur les coefficients dans un modèle linéaire voxelwise avec des termes d’interaction.

La réduction de l’épaisseur corticale était plus liée aux scores tau qu’aux scores β-amyloïde, en particulier dans le précuneus, le cortex cingulaire postérieur et le cortex entorhinal (panneau supérieur). Ni APOE ε4 ni les interactions tau x APOE ε4 et β-amyloïde x APOE ε4 n’ont montré de zones de forte signification statistique. De même, l’interaction tau x β-amyloïde n’a pas montré d’effet significatif sur l’épaisseur corticale.

La réduction de l’épaisseur corticale associée à la protéine tau reste statistiquement significative après prise en compte de l’effet concomitant de la β-amyloïde, en particulier dans le cortex entorhinal et le cortex cingulaire postérieur. Une telle relation semble être plus forte en ampleur et en étendue spatiale que l’association tau-FDG correspondante (panneau du milieu).

L’effet de la protéine tau sur l’atrophie corticale est cohérent dans la localisation spatiale entre les différentes mesures de l’atrophie. Parmi toutes les différentes mesures de l’atrophie, le volume cortical est celui qui montre l’association la plus faible avec la protéine tau. En revanche, l’épaisseur corticale s’avère être la mesure de l’atrophie qui a montré l’association la plus forte et la plus étendue spatialement avec la protéine tau, ce qui soutient l’idée que les changements anatomiques les plus significatifs du cortex liés à la protéine tau se produisent le long de la trajectoire des colonnes corticales.

Nous utilisons les cookies nécessaires pour faire fonctionner notre site. Nous utilisons également d'autres cookies pour nous aider à apporter des améliorations en mesurant votre utilisation du site ou à des fins de marketing. Vous avez le choix de les accepter ou de les rejeter tous. Pour des informations plus détaillées sur les cookies que nous utilisons, consultez notre Avis de confidentialité.